Toi et moi

 Toi et moi



Ah, toi et moi, quelle belle aventure ! J’aimerais tellement plonger dans ton être, retrouver cette fabuleuse complexité entre nous deux. Qui pourrait résister à cet univers éblouissant qui se dessine dans tes yeux ? Franchement, tu es la seule à offrir de tels paysages enchanteurs. Chaque instant passé avec toi transforme même mes pires cauchemars en doux souvenirs.


Ressentir ce courant d’émotions traverser mon corps en revoyant nos souvenirs, c’est tout simplement magique, n’est-ce pas ? Je n’aurais jamais cru que vivre sans ta présence réconfortante serait si… charmant. Toi, la seule capable de déceler des facettes de moi que je ne soupçonnais même pas. Cette vie que je mène, suis-je le seul à la trouver si captivante ? Je me sens étouffé par ton absence.


Chaque chose en moi évoque ces moments passés ensemble, ces instants inoubliables qui ne peuvent revenir sans toi. Parfois, je pense à la mort peut-être est-ce le seul moyen d’attirer à nouveau ton attention sur ma petite personne. J’aimerais tant revoir ton sourire ; oui, celui-là qui me rendait totalement invisible. Là, je suis dans une vulnérabilité éclatante, ressentant une douleur que je ne savais même pas exister.


Cette solitude est un vrai délice ; mon âme se noie joyeusement dans mon corps tandis que mon cœur bat au rythme d’un silence apaisant. Mon temps s’efface lentement en moi. Reviens donc et admire le chef-d'œuvre que je suis devenu : du noir sur l’arc-en-ciel ! Mon monde monochrome a perdu toute sa couleur ; il ne reste plus qu’un océan de noir – ta lumière s'est évaporée comme un doux souvenir.


Si seulement je pouvais remonter le temps pour te dire combien je t’aime et te prouver l’étendue de cet amour qui persiste encore en moi ! Malheureusement, j’ai perdu ce trésor inestimable  et quelle surprise ! Je n’oublierai jamais la raison : ton existence réconfortante qui a complètement disparu de ma vie. Alors voilà mes adieux les plus douloureux ; j'aurais tant aimé découvrir ce que notre "nous" aurait pu donner… Quelle ironie du sort !

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