Rêve éphémère.

        

Rêve éphémère.

Dans les abysses de ton regard, tu es l'incarnation parfaite de l'instant présent, n'est-ce pas ?  

Ta voix, une douce mélodie, résonne dans l'air comme si c'était un chef-d'œuvre,  

Mais ces notes s'élèvent, tel un souffle éphémère qu'on oublie facilement.

Beauté mystérieuse avec des secrets si bien gardés,  

Chaque mot que tu chuchotes fait danser mes pensées comme un ballet sans fin.  

Ton rire éclatant est une lumière vive qui ne manque jamais d'éblouir,  

Il réveille en moi des rêves que je désire voir grandir... ou pas.

Tu es telle une étoile brillante mais oh combien éloignée !  

Un soupçon de magie qui enchante nos journées monotones.  

Bien sûr, tu ne chantes pas aussi bien que les oiseaux en vol,  

Mais ton cœur résonne en moi avec un doux contrôle... comment dire ?

Dans tes caprices se cache tant de grâce et d’élégance exagérée,  

Chaque geste et sourire laissent une empreinte indélébile.  

Princesse des mystères, je suis ton fervent admirateur à la limite du ridicule,  

Et même sans mélodie divine, tu es ma source inépuisable de bonheur.

Alors continue à parler et rêve à haute voix dans ton univers secret où la beauté se déploie avec tant d'aplomb.  

Car même sans chant glorieux, tu es la plus belle des harmonies imaginaires,  

Ma princesse capricieuse aux aspirations infinies !

Regarde-moi ça ! Un petit coup d'œil et hop, tu te retrouves à respirer le parfum de ses cheveux comme si c'était un bon vin, avec un regard si irrésistible que même le plus stoïque des hommes ne peut s'empêcher de sourire chaque fois qu'il la croise. C'est fou comme un simple moment peut ouvrir les vannes de l'imagination, transformant une idée en un véritable feu d'artifice mental, complètement obnubilé par son charme, un souvenir qui devient une œuvre d'art unique !

Et là, on cherche l'approbation de notre chéri(e) tout en jouant les philosophes à la Friedrich Nietzsche – vous savez, ce bon vieux sceptique qui se demande si la vie a encore du sens. Oh là là ! Coincé dans cette philosophie comme un chewing-gum sous une chaussure, pas sûr s’il est trop tard pour changer de cap. Mon Dieu, on nage dans l'incertitude ! Cette incertitude qui transforme nos pensées en véritables bactéries du doute. Est-ce trop tard ? Je n'en ai aucune idée ! Mais je crois que moi-même, je me bats contre cette marée émotionnelle sans savoir vraiment ce que je veux... Merci l'incertitude pour ce joyeux bazar !

Te dire les plus belles paroles et t'écrire des poèmes dignes de la meilleure romance, c'est un peu comme essayer de décrire le goût d'une pizza avec des mots : ça ne rend jamais justice ! C'est un attachement qui a deux faces, comme une pièce de monnaie qu'on ne peut exhiber qu'à moitié, l'autre restant bien mystérieuse. Je me sens tel un marin perdu en mer, sombrant lentement dans l'immensité océanique de ton âme – et devine quoi ? J'ai oublié ma bouée !

Je pourrais demander ce que tu en penses, mais je suis un peu à court d'idées pour mettre tout ça en mots. C’est comme essayer de changer la télécommande d’un vieux téléviseur sans pile ! Je me perds dans mes pensées sombres où les étoiles brillent plus que jamais, mais où le soleil s'est fait la malle pour toujours. Au moins, j'ai gagné la lune en guise de consolation ! Pas mal pour un naufragé du cœur, non ?

 

Tout ce que je demande, c'est un peu de compréhension. Comme un aigle majestueux (ou plutôt comme un pigeon maladroit), je crois que cette quête sera aussi lente qu'un escargot sur une autoroute ! Mais quand même incroyablement satisfaisante… si on oublie le fait que je ne veux pas être oublié. Dans tout ça, il y a une source inépuisable de bonheur et une empreinte d'affection qui pourrait faire rougir Cupidon lui-même !